Traduction du roumain et adaptation: Liana Didilescu
Distribution:
L’Empereur Aboulik: Cristian Covaci
Fénol, son conseiller : Cristian Calbeaza
La princesse Astenillia, la fille d’Aboulik: Denisa Lile
Spongina, la femme de Fenol: Alexandra Pavel
Dames de compagnie de la princesse
Litron: Blanca Doba
Virgulina : Cristina Cincu
Maximia: Andreea Giurgiu
Pépa: Adelina Bulibasa
Hélas, poète de la Cour : Sam Nasta
La Mouche, chef de l’armée: Stefan Puscasu
Soldats : Simion Zait
Stella: Roxana Fânata
Le Prince Nordglanz: Vlad Jinga
Le bouffon: Andrei Frandes
Scénographie et
costumes: Luminita Penisoara
Mise ne scène: Florin Didilescu
„La bêtise est nettement supérieure à l'intelligence
car toute l'intelligence du monde ne permettra jamais
de comprendre la bêtise universelle, tandis qu'un
peu de bêtise suffit amplement à ne pas
comprendre quoi que ce soit d'intelligent."
Philippe Geluck
Pourquoi on y revient toujours et encore? Parce que
la bêtise inspire, parce que la bêtise
nous fait rire, parce qu'elle nous permet de nous sentir
plus intelligents. Mais l’est-on vraiment? D'ailleurs... "la
vérité", c'est quoi?
Ce texte de Dumitru Solomon, écrit dans la dernière
période du régime communiste roumain,
garde toute son actualité dans la mesure où,
ici ou ailleurs, la bêtise, le mensonge, l’hypocrisie,
la démagogie, l’imposture, l’inculture,
la violence, le refus d’accepter la réalité sont
monnaie courante dans le monde de ceux qui nous dirigent à tous
les niveaux de la société.